Par le biais de sa campagne politique, l'APTS revendique des mesures publiques audacieuses auprès des élu·e·s du Québec et des dirigeant·e·s des établissements afin d’assurer à la population québécoise une offre de services publics, accessibles, inclusifs et égalitaires. Le ministre Dubé, de son côté, recycle une vieille recette en ouvrant la porte toute grande au privé, invoquant des arguments pour le moins douteux. Qu’à cela ne tienne, on déboulonne cinq mythes coriaces sur le privé en santé et services sociaux.
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Le décloisonnement (ou EPP, pour «élargissement des pratiques professionnelles») est un des piliers du «Plan santé» du gouvernement Legault. Il y est présenté comme l’une des principales solutions pour pallier le manque de personnel et d’importants travaux sont en cours. Ceux-ci pourraient transformer de façon notable l’organisation du travail dans votre milieu. Afin de vous aider à comprendre les tenants et aboutissants de ce projet, nous vous invitons à consulter notre dossier spécial.
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La réforme Dubé vous concerne de près. Pour en savoir plus sur ce qu’elle contient, consultez nos tracts:
NOS VIDÉOS
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À LIRE
L’insatisfaction de la population du Québec vis-à-vis du réseau de la santé et des services sociaux est palpable. Après tant de promesses brisées de mettre fin aux listes d’attente ou de donner l’accès à un médecin de famille à tou·te·s, il va sans dire que la suspicion est de mise lorsqu’un gouvernement prétend «régler» les problèmes du réseau. Pourtant, le gouvernement Legault persiste en proposant des solutions élimées dans son Plan santé (contrôle des coûts, fausse décentralisation, élargissement de la participation du secteur privé, etc.). Heureusement, l’APTS a une tout autre vision du réseau. Consultez nos solutions pour un réseau auquel les Québécois·es ont droit.
Lorsqu’il s’agit d’investir dans les services publics, la classe politique a tôt fait de nous servir la même rengaine pseudo-pragmatique : il n’y a pas d’argent dans les caisses (si ce n’est pour un diachylon ici et là) et l’argent ne pousse pas dans les arbres. Dans cet article de notre série « Avons-nous les moyens d’un réseau fort? », nous nous intéresserons à la première affirmation en jetant un œil à l’état des finances québécoises telles que mises à jour dans le cadre du budget 2023-2024. Quant à savoir si l’argent pousse dans les arbres, ou ailleurs, restez à l’affût! Un article sur les sources de revenus dont pourrait se prévaloir notre gouvernement suivra sous peu.